mardi 29 janvier 2013

Le nouveau gouvernement Vs les tableaux blancs interactifs


Tout un revirement depuis que Pauline Marois est au pouvoir concernant l’installation des tableaux blancs interactifs dans les écoles primaires. 


Suite à la lecture de cet article, je suis allée faire de la recherche sur La Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l'information et de la communication en éducation. Thierry Karsenti travaille pour l’Université de Montréal, mais a également fait des études à l’Université McGill.

Voici une entrevue qu’il a accordée à Mathieu Beaumont à l’émission Que l’Estrie se lève au 107,7 FM : http://karsenti.scedu.umontreal.ca/entrevues_medias/2012-11-20_estrie_se_leve.mp3

L’entrevue m’a portée à réfléchir sur la place des tableaux blancs interactifs dans les classes du primaire :
L’entrevue m’a permis de constater que les tableaux blancs interactifs sont bénéfiques seulement pour les personnes qui en ont réellement désiré, car ils ne sont pas si simples à utiliser si le professeur ne s’investit pas. Il y a peu de formation pour les professeurs.
Google est né il y a 13 et est néanmoins la première source d’information.

L’utilisation des TIC dans les classes doit être faite en douceur, les TIC ne doivent pas être imposées parce qu’elles vont être mal utilisées. Il est important de se renseigner afin d’utiliser à sa juste valeur cette technologie qui a été créée pour aider les élèves. Nous devons maintenant l’intégrer convenablement dans notre enseignement.

lundi 28 janvier 2013

Les logiciels de création de réseau de concepts


Dans le cadre de notre cours PED 3001, nous devons utiliser le logiciel Cmaps  http://cmap.ihmc.us/conceptmap.html pour construire un réseau de concept concernant notre parcours scolaire.

Ce travail m’a permis de découvrir ce logiciel. J’ai donc fait quelques recherches et j’ai trouvé trois autres logiciels qui peuvent eux aussi faire des réseaux de concepts :







Nous devons faire attention, parce qu’il y a des logiciels qui nous devons acheter pour utiliser.

            J’ai beaucoup aimé utiliser les logiciels de création de réseau de concepts parce que je sais que je pourrais les utiliser pour aider les élèves à apprendre différemment. Il existe plusieurs façons d’apprendre : par la lecture, l’écriture, l’écoute, l’oral, l’expérimentation, etc. J’enseignerais l’utilisation du réseau de concept à mes élèves pour comparer les apprentissages et les connaissances qu’ils ont fait entre elles, pour résumer plusieurs éléments sur une même page, pour lister des informations, pour relier des informations entre elles, etc.

            La découverte de ce logiciel m’a beaucoup intéressée parce que j’ai réellement l’impression que je pourrais rendre certains apprentissages plus simples pour certains élèves qui peuvent avoir de la difficulté à regrouper des apprentissages, à synthétiser des connaissances, à faire des liens entre différentes notions, etc. Les réseaux de concepts permettent de clarifier, mettre à la plus simple expression les apprentissages que les élèves font.

mercredi 23 janvier 2013

L'enseignement des technologies sans l'utilisation dans les écoles


Une vieille expression régulièrement utilisée dans les écoles se lit comme suit :

Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais.

            Lors de notre formation, les enseignants nous demandent d’intégrer les TIC à nos enseignements. Malheureusement, ils ne le font pas ou seulement très peu dans les universités. Dans la vidéo Apprendre en 2013 (A Vision of Students Today) que nous pouvons retrouver sur le site http://www.youtube.com/watch?v=dGCJ46vyR9o&feature=youtu.be , les étudiants nous font observer le même problème dans l’université Kansas State University.

            Le système d’éducation n’a pas beaucoup changé depuis plusieurs décennies. Toutefois, la société a beaucoup évolué. Le système d’éducation n’est plus adapté à la jeunesse moderne. Ceux-ci ont des téléphones intelligents, des ordinateurs portables, ont accès à beaucoup d’informations rapidement. Dans la vidéo, les étudiants nous écrivent qu’ils n’ont plus réellement besoin de livres pour trouver leurs informations et que la présence en classe n’est pas obligatoire pour avoir un diplôme. Ce qui est tout à fait vrai grâce aux technologies. Également, une fille écrit que lorsqu’elle va graduer, elle va probablement avoir un travail qui n’existe pas présentement. C’est la réalité des étudiants de notre société actuelle, mais ce n’est pas le bagage enseigné dans les universités.

            Je trouve malheureux que les étudiants d’université doivent trouver un équilibre entre leurs connaissances déjà acquises, la société dans laquelle ils vivent, l’école et les apprentissages qu’ils font, etc. L’interaction entre les différents éléments est tellement contradictoire que les étudiants sont forcés de faire un choix dans les apprentissages qu’ils font : ils ne pourront pas mettre en application toutes les connaissances qu’ils font avoir acquises puisque dans la pratique, leur métier n’existe peut-être même pas encore. Ils vont devoir s’adapter à nouveau. Si les étudiants d’université ont de la difficulté à s’adapter, comment pouvons-nous demander une tâche aussi complexe aux élèves du primaire ?

            Comme nous pouvons le lire dans l’article suivant Innovations technologiques dans l’enseignement des mathématiques: paradigmes et changement de la professionnalité de l’enseignant que nous pouvons retrouver sur ce site, http://jb.lagrange.free.fr/site/papers/_Quadrante_XVIII_vol1e2_2009pp029-052_4d21f8abecd2e.pdf , lorsque le tableau noir a été inventé, celui-ci était technologique et révolutionnaire. Les élèves allaient apprendre merveilleusement bien et tous connaître. Malheureusement, comme nous pouvons le voir dans la vidéo, mis à part le professeur qui doit faire de l’exercice, il manque beaucoup de potentiel à cet outil. J’ai l’impression que c’est le même problème que nous vivons avec nos nouvelles technologies : nous croyons que la technologie va tout changer, mais nous ne l’utilisons pas adéquatement. Nous n’arrivons pas à utiliser les technologies à leur juste valeur et à les intégrer harmonieusement dans notre enseignement.

Ce ne sont pas les élèves qui doivent s’adapter à nos technologies, c’est à nous de nous adapter à leurs technologies et leurs outils.
Merci de me lire et de commenter

jeudi 17 janvier 2013

Ce que j'aimerais apprendre au sujet des TIC en adaptation scolaire

Ce que j’aimerais apprendre :

1.      J’aimerais connaître assez bien différentes technologies pour être capable d’en utiliser librement en classe et de me sentir à l’aise de les présenter à l’avant. J’aimerais en savoir plus que nécessaire pour qu’en cas de problème ou de questionnement de la part des élèves je puisse leur répondre sans devoir faire de longue recherche à la maison le soir venu.

2.      J’aimerais également connaître plusieurs avantages et inconvénients de chaque technologie pour pouvoir ensuite avoir un choix de matériel lorsque je vais faire des animations en classe ou lorsque je vais enseigner à un petit groupe d’élèves. Je veux connaître les bénéfices de plusieurs technologies pour pouvoir les comparer et utiliser les technologies les mieux adaptées pour mon enseignement.

Ce que je me demande au sujet des TIC en adaptation scolaire


Je me demande :

1.      Jusqu’où les technologies peuvent venir en aide à un élève ? Est-ce que, lorsqu’elles sont bien utilisées, les technologies peuvent faire une différence majeure sur l’apprentissage et l’ajout de connaissances pour un élève en adaptation scolaire ? Est-ce que ces nouvelles connaissances sont réellement nécessaires ?

2.      Qui a la responsabilité d’enseigner les nouvelles technologies et leur utilisation à l’élève ? À partir de quand devons-nous utiliser ou enseigner les technologies aux élèves ?

Ce que je sais au sujet des TIC en adaptation scolaire


Voici ce que je sais de l'intégration des TIC en adaptation scolaire :
 
1.      Je sais me servir d’un tableau blanc interactif. Mon enseignante associée en avait un dans son local et elle l’utilisait régulièrement. Alors, je sais plusieurs fonctions de cet appareil. Toutefois, je ne sais pas comment l’utiliser à son plein potentiel.

2.      J’ai mon portable depuis seulement quelques années. Avant, je n’avais pas Internet. Alors, je sais me débrouiller avec un ordinateur fixe ou portable, mais je ne suis pas une experte. Toutefois, je sais assez d’éléments pour avoir fait un projet de recherche et de production avec mes élèves en stage à l’aide d’un ordinateur.